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samedi 28 juillet 2018

Lecture du moment

Sirius le chien qui fit trembler le IIIe Reichs  
de Jonathan Crown.


Sirius est un fox terrier dont toute la famille a été massacrée. Adopté par une riche famille juive de Berlin, c'est tout naturellement qu'il les accompagne, quand ils doivent fuir le nazisme et vont retrouver des amis en Californie.
C'est la grande époque du cinéma et  Sirius devient la coqueluche d'Hollywood en tant que chien acteur. 
C'est sympa, un peu loufoque et très symbolique aussi. 
Le style et les thèmes abordés changent de ce qu'on a l'habitude de lire et le monde complètement délirant du cinéma est bien décrit. J'en suis à la moitié pour l'instant.

dimanche 15 juillet 2018

Programme TV / Littérature du 15 février 2018



Sur France 3, à 15 h 15
Miss Fisher enquête : Tout est dans la recette
Série policière adaptée des romans de Kerry Greenwood.
Je ne peux, malheureusement pas vous en parler, car je n'ai lu aucun de ses romans et n'ai pas du tout accroché lorsque j'ai regardé un ou deux épisodes de cette série
Sur Arte, à 20 h 50 
Sur la route de Madison

Adaptation cinématographique par et avec Clint Eastwood du roman de Robert James Waller
Je n'ai pas lu le livre et n'ai pas encore vu le film, mais C. Eastwood est pour moi un gage de qualité, donc si le thème vous tente, n'hésitez pas.

Vous trouverez le roman aux éditions Pocket.

Sur France 3, à 20 h 55
Commissaire Dupin : Le Tésor d'Ys
Là, ce n'est pas banal, il s'agit d'une série de romans policiers bretons, écrits par Jean-Luc Bannalec et adaptés par l'Allemagne.

Je n'avais lu aucun roman de l'auteur, mais ai voulu voir ce que cela pouvait donner à la télé, découvrir comment les Allemands nous montreraient la Bretagne, ses habitants et leur mentalité. J'avoue que j'ai eu une agréable surprise et beaucoup de plaisir à suivre les intrigues. Sans compter que Pasquale Aleardi qui interprète le commissaire Dupin est fort bel homme et incarne bien ce personnage plein de charme et d'humour.

Les romans de Jean-Luc Bannalec sont disponibles aux Presses de la Cité (Coll.Terres de France) ou en Pocket. Le plus surprenant est peut-être que cet auteur breton est de nationalité... allemande.


Sur France 4, à 20 h 55
Le Château de ma mère
Que vous dire de plus que je ne vous aurais pas encore dit sur Pagnol et sur l'adaptation de ses oeuvres par Yves Robert ?

Si vous ne l'avez jamais vu, n'hésitez pas, vous en serez ravis.
Un seul bémol, le Château de ma mère  est diffusé avant la Gloire de mon père, ce qui ne respecte pas l'ordre chronologique et est donc déstabilisant.


Sur TF1, à 21 h 00
Les souvenirs

Le roman de David Foenkinos par l'auteur et Jean-Paul Rouve. Je ne connais pas encore ce romancier, mais le thème de l'histoire et la distribution me tentent énormément


Sur France 4, à 22 h 30
La Gloire de mon père

Comme je vous l'ai dit précédemment, c'est un film merveilleux, adaptation nostalgique des souvenirs d'enfance de l'auteur



Sur France 5, à 22 h 35
Une maison, un artiste : Alphonse de Lamartine, le grand oublié

A travers la maison de Milly, nous parcourons la vie de ce grand poète que le temps laisse s'effacer peu à peu de nos mémoires, ce que je trouve assez dommage, car il nous a légué des poèmes magnifiques



Sur France 3, à 00 h 25
Agatha Raisin : Une recette qui tue
La première enquête de l'héroïne de Marion Chesney Gibbons portée à l'écran.

J'ai lu le roman que j'ai trouvé plutôt divertissant, mais ne connais pas du tout la série. vous pourrez découvrir notre détective amateur aux éditions Albin Michel.

 Etant donné l'heure tardive à laquelle est diffusé l'épisode, je pense que seuls les insomniaques prendront la peine de le regarder.

vendredi 13 juillet 2018

Minute, papillon !



Rose est une  mère célibataire de 36 ans qui vient de perdre son père. En plein désarroi, outre ce deuil, elle doit faire face au chômage et au départ de son fils unique.
Un peu perdue, mais ne baissant jamais les bras, au risque trop souvent de penser aux autres avant de se soucier d'elle-même, celle qui fut nounou pendant des années, après avoir renoncé à ses études d'infirmière pour s'occuper de son fils, accepte un emploi pour le moins original : dame de compagnie pour dame âgée un peu perturbée et nounou pour petit chien capricieux.
Rose n'est guère emballée par ce job, mais le logement et le salaire sont plus que motivants pour celle qui se retrouve seule.
Elle va alors découvrir des univers dont elle ne soupçonnait pas l'existence. Entre sa patronne despotique, son petit chien tyrannique, sa vieille mère atteinte de TOC, le petit cercle amical des commerçants du quartier, Rose n'a pas le temps de s'appesantir sur son sort. Sans oublier sa soeur dont elle est assez proche et son fils qui va bientôt la rendre grand-mère et la fuit, car elle refuse de lui dire qui était son père.
Dans cette histoire pleine de bons sentiments, écrite dans un style alerte et vivant, qui peut deviner le sens que Rose devrait donner à sa vie et lui insuffler le courage et le désir d'aller enfin au bout de ses propres rêves au risque de briser la carapace de protection qu'elle a tenté de se forger pendant des années ?


Tout comme Mémé dans les orties, ce roman d'Aurélie Valognes est un agréable divertissement. Le genre de livre que l'on fourre dans son sac de plage ou dans sa poche si l'on prend les transports en commun chaque jour, histoire de passer un bon moment sans se poser de question.
C'est un divertissement et c'est réussi.
Les personnages sont un peu trop stéréotypés, mais cela fait partie du jeu et permet de suivre facilement le fil des événements.
J'ai donc eu du plaisir à lire ce roman, mais je reconnais qu'il ne fera pas date dans ma mémoire littéraire. En revanche, il va se promener autour de moi pour le plus grand plaisir de mes proches.
J'avoue que je ne me serais sans doute pas lancée dans cette lecture si Aurélie Valognes n'avait été choisie comme auteur du mois de juin par le groupe Facebook, L'auteur du mois, mais je ne regrette pas et, si j'ai opté pour ce titre, c'est parce que j'ai été frappée par une coïncidence, à savoir la patronne despotique prénommée Véronique, comme moi, et sa mère Colette, comme la mienne. Toutefois je vous rassure, nous ne leur ressemblons pas du tout.